vendredi, mars 29, 2024
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RAPPORT EN DIRECT : Conférence en ligne marquant l’anniversaire du soulèvement en Iran

Maryam Radjavi, présidente élue du CNRI

Pour marquer l’anniversaire des manifestations de novembre 2019 en Iran, les Iraniens et les soutiens de l’opposition démocratique ont commémoré le soulèvement lors d’une conférence en ligne mardi. La cité de la Résistance Achraf 3 participait à cette conférence par une émouvante cérémonie de commémoration. Les participants ont souligné leur volonté de continuer le soulèvement jusqu’au renversement du régime au pouvoir en Iran.

Le 15 novembre 2019, un soulèvement massif a éclaté dans diverses villes iraniennes. Les manifestations ont duré environ une semaine et se sont étendues à plus de 190 villes dans les 31 provinces d’Iran. Le soulèvement de novembre 2019 était sans précédent au cours des 40 dernières années, en particulier en raison de son ampleur, de son rythme rapide, de son organisation, de la bravoure des manifestants et de leur volonté de risquer leur vie.

Des dizaines de responsables et de médias d’État en Iran ont accusé la principale opposition iranienne, l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI / MEK) d’avoir dirigé les manifestations par le biais des équipes d ’« unités de résistance ».

Sur ordre du guide suprême du régime, Ali Khamenei, au moins 1 500 manifestants ont été massacrés dans les rues. Plus de 4 000 ont été blessés et au moins 12 000 ont été arrêtés.

Mme Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la résistance iranienne (CNRI), était l’oratrice principale de l’événement de mardi.

Maryam Radjavi, présidente élue du CNRI, prend la parole lors de la conférence en ligne

J’adresse depuis ici mes salutations les plus cordiales et les plus ardentes aux insurgés dans les villes d’Iran et aux Iraniens épris de liberté à travers le monde.

Nous sommes réunis pour l’anniversaire du grand soulèvement de novembre 2019 en Iran et saluons le courage des insurgés qui l’ont engendré. Le feu qu’ils ont allumé ne s’éteindra pas tant que la dictature religieuse ne sera pas réduite en cendres.
Gloire aux fiers martyrs de novembre, sacrifice du peuple iranien pour la liberté, dont le sang pur bouillonnera jusqu’au jour de la libération. Je salue les milliers de jeunes insurgés emprisonnés qui ont enduré des tortures sauvages pour ouvrir la voie vers la liberté.

Les villes insurgées

Chers compatriotes,
Les flammes du soulèvement de novembre ont soudain embrasé plus de 200 villes de 29 provinces. Le régime clérical a vu un grand nombre de ses centres de répression pris d’assaut par les insurgés, et le monde a vu que les mollahs au pouvoir ne sont qu’une infime minorité cernée par les flammes de la colère de la société iranienne.

Le soulèvement de novembre n’était pas une rébellion aveugle, ni un mouvement sans lendemain.
Il n’était affilié à aucune faction du régime, ni à aucun pouvoir ou gouvernement dans le monde.
Au contraire, le soulèvement de novembre a jailli de la volonté indépendante et libératrice du peuple iranien. C’était un véritable modèle de soulèvement et de lutte pour renverser le régime. Un modèle dans lequel la jeunesse éveillée et démunie est la force de combat, un modèle qui s’inspire des unités de résistance et un modèle qui matérialise la stratégie des Moudjahidine du peuple (OMPI), c’est-à-dire la stratégie des unités de résistance et des villes insurgées.

Les insurgés de novembre sont descendus dans l’arène avec les mains pratiquement nues, mais armés d’une colère débordante qui a enflammé les centres de pillage et de répression du régime. Ils ont offert leur vie pour la liberté.
Gloire aux villes insurgées !
Gloire à Chiraz, capitale de l’insurrection et de la révolution !
Gloire à Mahshahr et aux jeunes combattants des batailles des quartiers, des fourneaux, de Khor-Moussa et de Bessat !
Gloire à Islamshahr, où les insurgés se sont emparés de la principale base des gardiens de la révolution et ont en pris les armes.

Gloire à Shahriar, dont la jeunesse intrépide a détruit et piétiné une statue représentant la bague de Khomeiny.
Gloire à Behbahan qui a allumé le soulèvement de novembre !
Gloire à Sirjan, Ispahan, Khorramchahr, Arak, Téhéran, Karadj, Fardisse, Robat-Karim, Ahwaz, Qaleh-Hassan-Khan, Kermanchah, Marivan, Sadra et les autres villes du pays, dont les combattants ont visé ou se sont emparés d’au moins 80 centres des pasdarans et de la milice du Bassidj et commissariats de police.
Et gloire à ces villes insurgées qui durant le soulèvement de novembre ont brisé la domination des mollahs. Elles ont gouté à la liberté et se préparent pour les batailles à venir et pour la liberté.

1500 âmes passionnées et flamboyantes

Saluons la mémoire des 1500 martyrs de novembre, dont chacune et chacun sont l’incarnation admirable de la volonté du peuple iranien de parvenir à la liberté.
Quel témoignage plus objectif, sincère et résolu de la détermination du peuple iranien à renverser le régime que ces martyrs?
Quel témoignage plus réel et plus clair de la fin de ce régime que ces martyrs?
Oui, en novembre 2019, le massacre des insurgés a commencé dès le début. Avec l’ordre de Khamenei le 17 novembre, le soulèvement a pris de l’ampleur. Il a appelé les organes de répression et de tuerie à « faire leur devoir » face aux insurgés. Il s’agissait d’un ordre de massacre barbare.
Ils ont visé les gens dans la rue à la tête et au cœur.
Ils ont empêché de soigner les blessés, ils ont utilisé les centres de soins pour piéger et arrêter les blessés.
Ils n’ont même pas hésité à tuer des enfants et en ont assassiné des dizaines.
Selon les médecins, les gardiens de la révolution ont utilisé des munitions de guerre contre la population.
À Chiraz, des hélicoptères de la police ont tiré sur des manifestants.

À Mahshahr, ils ont tiré sur les gens à la mitrailleuse lourde.
À Gorgan, les gardiens de la révolution ont tué un jeune rebelle en lui tirant dessus à bout portant et à coups de hache dans la rue sous les yeux ahuris de la population.
La Résistance iranienne a jusqu’à présent obtenu et publié les noms de 828 martyrs. Mais le nombre réel est sans aucun doute de plusieurs milliers. Tout le monde sait que le régime a nié le nombre de tués, et c’est la Résistance iranienne qui a pu faire annoncer le chiffre d’au moins 1 500 martyrs au niveau international.

Mais ce qui s’est passé est un massacre, quels qu’en soient les chiffres. Ce qui s’est passé est un crime contre l’humanité. Khamenei, Rohani, Shamkhani, les commandants des pasdarans, de la milice du Bassij et de la police doivent être jugés pour cette tuerie.
La férocité de Khamenei et de ses pasdarans n’avaient aucune limite. Mais toute cette tuerie, cette répression et ce climat de peur n’ont pu vaincre le feu du soulèvement et de la révolution. Et les insurgés sont descendus dans l’arène portant un long étendard
Ils ont fleuri des forêts sans printemps
Et fait fructifier des arbres sans racines
Ils ont chanté la gorge ensanglantée
fort d’un engagement robuste
Et ils ont prononcé leur dernier mot : liberté !

Le 8 janvier 2020, Khamenei a clairement accusé les Moudjahidine du peuple rassemblés dans un pays européen d’avoir planifié le soulèvement. Mais est-ce que les mollahs ne disaient pas dit qu’ils avaient vieilli et qu’ils étaient finis ? Vraiment, comme l’a chanté Marjan la rebelle [célèbre chanteuse récemment décédée], que ferez-vous des bourgeons de la jeunesse qui éclosent ?

Le soulèvement continue jusqu’au renversement

Chers compatriotes,
Ce moment fascinant de l’histoire contemporaine de l’Iran, qui a surgi dans les 48 heures de bataille et de révolte de novembre 2019, n’est pas un météore éphémère. Il incarne une détermination ardente qui durera jusqu’au renversement de la dictature religieuse.

La déclaration annuelle du Conseil national de la Résistance iranienne l’a parfaitement résumé en 10 points :
1 – Le soulèvement a pris forme rapidement.
2 – Les slogans sont vite devenus radicaux et ont visé la tête du pouvoir, Khamenei.
3 – La nouvelle génération née sous ce régime et constamment exposée à sa propagande, notamment contre la Résistance, a formé le noyau central du soulèvement.
4 – Le rôle des femmes comme avant-garde et leaders de ce soulèvement était très significatif et influent.
5 – Dans ce soulèvement, tous les centres gouvernementaux, militaires et affiliés au régime ont été attaqués et détruits par le peuple. Aucun équipement ou lieu appartenant aux particuliers n’a été endommagé. Ce sont les agents du régime qui ont endommagé les véhicules et les équipements de la population.
6 – La faction des soi-disant « réformateurs » a soutenu sans sourciller l’autre faction, dite « dure », pour réprimer le peuple. Dans ce soulèvement, la carte des « réformateurs » a complètement brûlé.
7- Dans les rues, il n’y avait aucun signe de partisans du chah ou d’autres prétendants appelant à « éviter de s’opposer à la violence des forces répressives ».
8 – La stratégie des unités de résistance et des villes insurgées, a fait ses preuves sur le terrain.
9 – Tactiquement, les unités de résistance ont commandé de la meilleure manière sur le terrain.
10 – Aucun des individus, groupes et médias, qui critiquent depuis des années la résistance iranienne, sa stratégie et ses positions, n’a su reconnaitre quelle stratégie s’exprime désormais dans les rues d’Iran.

C’est pour cette raison qu’il est impossible d’effacer les conséquences du soulèvement de novembre 2019. C’est pour cette raison que pour son anniversaire, le soulèvement de novembre, dans une immense préparation sociale, a relevé la tête pour renverser le régime dans son intégralité.

Ingrid Betancourt, ancienne sénatrice colombienne et candidate à la présidentielle

Ingrid Betancourt prend la parole lors de la conférence en ligne

Il est de notre devoir de pointer du doigt les criminels qui ont assassiné des manifestants en Iran. Les dirigeants mondiaux doivent agir maintenant. Ce qui se passe en Iran a des conséquences dans notre vie quotidienne. Le terrorisme religieux qui frappe nos rues a été financé par l’Iran. Cela a été démontré dans de nombreux dossiers, dont celui qui se tient ce mois-ci à Anvers, en Belgique.

Les classes sociales que l’on pensait être l’épine dorsale légitimant le régime sont celles qui scandaient des slogans contre Khamenei et Rohani dans les rues et ont été abattues par les forces de sécurité.

Nous avons besoin que l’Europe en tant qu’Union et que chaque dirigeant européen prenne une position immédiate et exemplaire, premièrement, en évitant de vendre des armes aux mollahs, et deuxièmement, en ne concluant aucun accord nucléaire avec l’Iran qui donnerait une bouée de sauvetage à cette machine à tuer sanguinaire.

Nous avons été témoins des crimes du régime contre son propre peuple et de ses projets terroristes internationaux. Les Iraniens n’ont pas accès à ce que nous faisons. Le régime iranien ferme l’Internet et l’accès aux informations pour garder les Iraniens dans l’ignorance. Mais malgré la répression des mollahs, la nouvelle génération d’Iraniens qui a grandi sous le lavage de cerveau systématique du régime soutient la dirigeante de la résistance Maryam Radjavi, contre laquelle le régime a lancé sa plus grande campagne de désinformation. En 2019, les jeunes défendaient ses idées et son plan en dix points, et c’est pourquoi ils ont été tués, arrêtés et exécutés par les pasdaran.

Aujourd’hui, nous rendons hommage non seulement aux morts, mais aussi aux vivants, l’immense réseau de partisans de l’OMPI qui opèrent à travers le pays malgré l’immense menace qui pèse sur leur vie. Ils devraient avoir le droit de faire leur choix en votant sans risquer leur vie. C’est la raison pour laquelle le peuple iranien demande un changement de régime, pas de petites réformes. Ils veulent une république, des élections libres et équitables.

L’OMPI a montré qu’elle avait le leadership national et le soutien international pour faire la transition démocratique de l’Iran. Nous devons travailler ensemble pour nous assurer que nos dirigeants comprennent qu’il est dans notre intérêt de reconnaître le droit du peuple iranien de lutter pour la démocratie. Nous sommes tous liés ensemble dans cette quête de justice et de liberté. Assez de complaisances envers les mollahs criminels au pouvoir en Iran.

Aux Unités de Résistance iraniennes, nous sommes à vos côtés lorsque vous faites votre part en Iran et que nous faisons la nôtre à l’étranger.

 

Le député suédois Magnus Oscasrsson

Magnus Oscasrsson prend la parole lors de la conférence en ligne

Nous devons travailler pour la démocratie en Iran. Nous avons besoin de changement, d’une démocratie conforme. Dans différentes villes, les gens se lèvent et disent que cela suffit. Il est temps pour la Suède de soutenir la démocratie pour l’Iran. Mes amis, n’abandonnez pas, nous sommes à vos côtés dans cette lutte pour la liberté et les droits fondamentaux.

 

La députée britannique Theresa Villiers, ancienne secrétaire d’État à l’environnement, à l’alimentation et aux affaires rurales

Theresa Villiers prend la parole lors de la conférence en ligne

La communauté internationale doit maintenant intervenir pour mettre fin à la culture de l’impunité en Iran afin d’empêcher un nouveau massacre de dissidents dans les prisons du régime. Le silence n’est pas une option et la communauté internationale et les démocraties occidentales doivent se tenir aux côtés du peuple iranien et du mouvement de résistance organisé alors qu’ils continuent de défier le régime pour établir un Iran libre et démocratique.

Le CNRI et sa présidente élue, Mme Radjavi, ont proposé une plate-forme démocratique pour un futur Iran et sont le fer de lance de la campagne mondiale visant à obliger le régime à rendre compte de ses violations des droits de l’homme passées et actuelles et de ses crimes contre l’humanité. J’exhorte le gouvernement britannique à soutenir la lutte pour la responsabilité et un changement démocratique en Iran en reconnaissant et en s’engageant avec le CNRI comme le véritable représentant du peuple iranien et de ses aspirations démocratiques. Le Royaume-Uni doit également prendre les devants en Europe pour accroître la pression sur le régime iranien par des mesures punitives et en proscrivant le CGRI dans son intégralité.

La responsabilité et la tâche d’apporter un changement durable en Iran incombent au peuple iranien. Les manifestations nationales qui se poursuivent depuis novembre de l’année dernière prouvent que le peuple iranien et son mouvement de résistance dirigé par Mme Radjavi sont à la hauteur de la tâche et se poursuivent jusqu’à la victoire finale. Le Royaume-Uni et les autres démocraties occidentales doivent les soutenir alors que l’ère de la dictature religieuse en Iran touche à sa fin.

Behrouz Maghsoudi, représentant de l’Association des jeunes iraniens en Norvège

Le soulèvement de novembre 2019 était clairement une rébellion contre le fascisme religieux dans notre pays. Les manifestants savaient qu’ils n’auront ni liberté ni moyens de subsistance décents tant que le régime sera au pouvoir.

Le manifestant de novembre 2019 voulait le renversement du régime dans son intégralité et l’établissement d’une république démocratique, scandant : « A bas Khamenei », « Nous ne voulons pas du régime des mollahs » et « A bas le tyran, que ce soit Shah ou Guide suprême ».

L’Union de la jeunesse démocratique a les points suivants à faire valoi:

La société iranienne est dans un état explosif. La seule solution pour l’Iran est le renversement du régime

Les manifestations de novembre 2019 ont montré que le peuple approuvait la stratégie des unités de résistance et de rébellion pour renverser ce régime. Il n’y a pas de solution dans ce régime.

Le régime considère la Résistance iranienne comme sa principale menace et ne s’abstiendra de tout crime pour éliminer l’opposition.

Il faut une politique ferme pour empêcher le terrorisme du régime. Toutes les ambassades du régime doivent être fermées. Le CGRI et le ministère du Renseignement et de la Sécurité (Vevak) doivent être désignés comme entités terroristes.

Nous voulons la liberté de tous les prisonniers politiques.

Ramesh Seperad, enseignante à l’Université George Mason

Le Dr Ramesh Seperad prend la parole lors de la conférence en ligne

Le message du soulèvement était que le régime doit partir et qu’il est au bord de l’effondrement.

Les tactiques de terrorisme et de répression du régime pour effrayer le peuple, ne sont plus efficaces. Génération après génération, le peuple iranien a soutenu et soutenu l’OMPI. La résistance a ses racines dans la société iranienne.

Les mollahs ne se sont abstenus d’aucune tactique pour éliminer l’OMPI, y compris le terrorisme, les attaques à la roquette, les campagnes de diabolisation et l’exécution de membres et de partisans de l’OMPI. Pendant tout ce temps, les membres du MEK à Achraf 3 et les unités de résistance à l’intérieur de l’Iran sont devenus le cauchemar du régime.

Les campagnes de diabolisation du régime contre les dirigeants et les membres de l’OMPI n’ont fait que renforcer la résistance iranienne.

L’OMPI est source d’inspiration de la jeunesse iranienne. La Résistance a prouvé que si nous croyons et restons attachés à notre désir d’apporter la liberté, nous l’emporterons.

Le peuple iranien a renversé le régime du Shah. Ils réussiront sans aucun doute à renverser le régime des mollahs.

Omid Behrooz, dentiste et porte-parole des associations iraniennes en Norvège

Omid Behrooz prend la parole lors de la conférence en ligne

La principale stratégie de changement en Iran consiste à dissoudre le CGRI, et non travailler avec les pasdaran comme certains l’ont proposé. Le symbole de cette stratégie sont les unités de résistance. C’est la solution qui fait peur au régime, et la raison pour laquelle le régime se concentre sur le terrorisme et la propagande, contre la résistance iranienne.

Je salue les unités de résistance iraniennes, qui sont la clé du changement démocratique en Iran.

Niloofar Alamian, membre de l’OMPI

Niloofar Alamian prend la parole lors de la conférence en ligne d’Achraf-3

Nous sommes fiers de cette génération qui s’est opposée au régime monstrueux et sanguinaire et qui marche sur la voie du renversement de ce régime, qui a été lancé par le dirigeant de la Résistance iranienne Massoud Radjavi et continue à ce jour.

Nous avons été ravis de voir les femmes de mon pays diriger les manifestations et être les premières à scander « A bas Khamenei! »

Entendre ces histoires m’a rappelé les histoires de mes courageuses sœurs à Achraf, en Irak, qui ont résisté aux brutales forces par procuration du régime iranien. Nous avons appris de Maryam Radjavi que « nous pouvons et nous devons ». Ces jours-ci, nous apprenons que nous devons tous être attachés à cette devise et prouver que nous pouvons et nous devons.

Le régime tente de semer la peur et de semer le désespoir face à l’objectif du changement de régime. Mais nous sommes déterminés à continuer sur cette voie et nous sommes convaincus que nous le pouvons.

Comme l’a dit Massoud Radjavi, les insurgés l’emporteront.

Behnam Karimi, membre de l’OMPI

Behnam Karimi prend la parole lors de la conférence en ligne d’Achraf-3

Les générations qui, pendant des décennies, ont été bombardées par la propagande du régime, mettent maintenant les pieds sur la voie de l’OMPI. Le régime ne s’abstiendra d’aucun moyen pour rester au pouvoir. Le régime est engagé dans des efforts de propagande généralisés contre l’OMPI pour justifier le meurtre de ses membres et partisans. Le régime craint les militants de l’OMPI parce qu’ils sont organisés et unis, avec la volonté et le pouvoir de lutter pour la liberté. L’OMPI a un leader bien connu qui a une longue histoire de lutte pour la liberté à travers les épreuves et les tribulations. L’OMPI ne s’est en aucun cas rendu au régime et a fait des sacrifices. Avec Maryam Radjavi les femmes iraniennes ont pris leur destin en main, elles sont réprimées par le régime, mais les femmes ont des rôles de direction au sein de l’OMPI. Les mollahs tentent de dépeindre ses ennemis comme les ennemis de l’islam, mais l’OMPI a depuis sa fondation, rejeté toute division religieuse entre le peuple et n’a reconnu qu’une seule division : les oppresseurs et les opprimés. L’OMPI se bat pour les droits de chaque Iranien.

À l’occasion de l’anniversaire du soulèvement de novembre 2019, nous nous engageons à poursuivre le combat pour la liberté. De nouveaux jours arrivent. Nous sommes sur la voie du printemps de l’Iran.

Geir Sigbjorn Toskedal, député norvégien, membre de la commission des affaires étrangères

Behnam Karimi prend la parole lors de la conférence en ligne d’Achraf-3

Je tiens à souligner que la population iranienne fait partie des populations les plus jeunes du monde avec plus de 40% de personnes nées après la révolution de 1979. Ils sont nés et ont grandi sous la dictature actuelle, mais à chaque occasion, ils ont montré leur désir de liberté et de valeurs démocratiques que nous chérissons en Occident.

L’année dernière, 1 500 manifestants, pour la plupart des jeunes, mais aussi des dizaines d’enfants, ont été massacrés dans des centaines de villes à travers l’Iran. Les tirs aveugles des membre du CGRI et des forces de sécurité du régime, y compris des tireurs d’élite, ont créé une onde de choc dans le monde. Cependant, je crois fermement que la réponse internationale à un crime de cette ampleur n’était pas du tout adéquate et que nous devons faire beaucoup plus. La réimposition des sanctions de l’ONU contre ce régime brutal en fait partie.

Je pense qu’il est honteux d’essayer de légitimer ce régime. L’histoire a montré que les dictatures ne peuvent jamais survivre au désir des gens qui veulent être libres.

Neda Amani, entraîneuse de l’équipe féminine de football en Suisse

Neda Amani prend la parole lors de la conférence en ligne

Nous, les jeunes iraniens et iraniennes, méprisons la complaisance et les complaisants qui soutiennent le régime iranien et ne reconnaissent pas les droits de notre peuple.

Nous nous opposerons à la politique d’apaisement et ne permettront à aucun gouvernement de soutenir les objectifs tyranniques du régime. Nous renverserons ce régime.

Que le régime et ses courtisans le veuillent ou non, la voix de notre peuple est reprise par les unités de résistance iraniennes.

Nous nous opposerons au régime et à ses lobbies à travers le monde et ne leur permettront pas de diaboliser l’OMPI et le mouvement de résistance.

Ali Fatemi, président de l’Association de la jeunesse iranienne du Luxembourg

Ali Fatemi prend la parole lors de la conférence en ligne

Le soulèvement de novembre a commencé à cause du prix de l’essence, mais comme les gens en ont assez du régime, il s’est répandu dans tout le pays et tout le monde a souligné qu’il voulait un changement de régime.

Le slogan «A bas Khamenei!» fait écho dans chaque ville et rue. C’est un mouvement qui se poursuit, et nous l’avons vu à de nombreuses reprises après les manifestations de novembre 2019.

Ce soulèvement a également montré le rôle sans précédent de l’OMPI, une réalité certifié par Khamenei lui-même et d’autres responsables du régime.

Un responsable du régime a déclaré: «Seul Dieu nous a sauvés. Notre dernier mot avec les criminels qui dirigent l’Iran est que Dieu ne vous a pas sauvé. Satan l’a fait. Cette fois, même Satan ne vous sauvera pas. Les unités de résistance vous renverseront.

Amir Seifi de la communauté iranienne d’Irlande

Le régime a essayé de nous dissoudre dans son système par la répression et le lavage de cerveau. Mais beaucoup d’entre nous ont choisi la résistance et la rébellion. Et chaque jour, nos rangs grandissent.

En 2017, les étudiants iraniens visés par la propagande réformiste du régime scandaient : «Réformateurs, conservateurs, le jeu est maintenant terminé».

Ces dernières années, les braves unités de résistance se sont développées. Ce sont la nouvelle armée de libération du peuple iranien.

Sara Rahili, membre de l’OMPI

 

Sara Rahili prend la parole lors de la conférence en ligne d’Achraf-3

Lors des manifestations de novembre 2019, je me suis vu avec toutes les familles qui ont perdu leurs proches. Je me suis souvenu des jours de l’été 1988 où mon père a été exécuté par le régime avec 30 000 autres prisonniers. Nous n’avons même pas été autorisés à commémorer les morts. On ne nous a même pas dit où ils avaient été enterrés.

Les manifestations de novembre 2019 ont été la continuation de ce mouvement et la preuve que la lutte pour la liberté se poursuit. À toutes les familles des martyrs, je dis que leur sang et leur sacrifice n’ont pas été vains. Nous continuerons leur chemin. Tel est notre engagement.

Martin Patzelt prend la parole lors de la conférence en ligne

Martin Patzelt, membre du Bundestag allemand

Le régime iranien utilise le terrorisme pour réprimer la résistance et les dissidents. Nous devons ouvrir les yeux sur l’utilisation des institutions culturelles et des installations diplomatiques iraniennes pour le terrorisme. L’IRGC les utilise pour amener des cellules dormantes en Europe. Le procès d’Assadollah Assadi est une chance de dévoiler comment le régime utilise ses organes diplomatiques pour le terrorisme. Le régime tente de diffamer le mouvement de résistance, mais cela ne l’aide plus à se maintenir au pouvoir. La résistance gagne en crédibilité en Iran et dans le monde. Les manifestations de 2018 et 2019 ont montré au monde entier que la désinformation du régime selon lesquelles l’OMPI est un groupuscule ne sont pas vraies. Et cela a été prouvé par les tentatives terroristes du régime contre le mouvement de résistance en France et en Albanie.

En Europe, nous devons dénoncer le terrorisme iranien et protéger les membres de la résistance. Le régime doit être condamné par la communauté internationale. Le régime doit faire face à la justice. Assadi a utilisé sa couverture diplomatique pour des activités terroristes. Nous ne pouvons pas oublier cela. Nous devons nous joindre à l’appel de Maryam Radjavi pour une commission internationale indépendante chargée d’examiner la situation des manifestants détenus. Nous devons reconnaître que le régime est une menace pour notre démocratie.

Le sénateur italien Roberto Rampi

En Occident, nous avons l’obligation morale d’appuyer l’appel de Maryam Radjavi pour envoyer une délégation d’enquête sur la situation dans les prisons iraniennes. Nous savons que ce régime est un régime terroriste. Le cas d’Assadi n’est qu’un exemple qui montre que l’Iran est un gouvernement qui finance le terrorisme. Nous ne pouvons tolérer ce régime. Les ordres pour cette attaque terroriste sont venus directement du gouvernement et des dirigeants du régime. Comment est-il possible d’avoir des relations avec un tel gouvernement qui protège et offre un refuge aux terroristes?

La raison du comportement du régime est un attitude faible de l’Union européenne. L’UE doit demander au régime pourquoi l’un de ses diplomates a été impliqué dans une tentative de terrorisme. Nous devons soutenir la résistance et combattre ce régime honni.

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Kimmo Sassi prend la parole lors de la conférence en ligne

Kimmo Sassi, député finlandais et ancien ministre

Le régime ment sur le nombre de victimes de coronavirus car il craint de nouvelles manifestations. L’année dernière, le régime a tué 1 500 manifestants. Une mission d’enquête indépendante doit enquêter sur les crimes du régime. La communauté internationale a été choquée par l’exécution du champion de lutte Navid Afkari.

Le régime iranien est nerveux et terrifié par les manifestations populaires. Je crois à la démocratie, aux droits de l’homme, à l’État de droit et à une économie de marché sans corruption. La démocratie est la principale garantie d’un bon avenir. L’histoire montre que la liberté finit par l’emporter et que la dictature échoue. Que pouvons-nous faire pour soutenir le peuple iranien? Au sein de la communauté internationale, nous devons soutenir le changement voulu par le peuple iranien. Nous avons besoin de sanctions contre les dirigeants du régime. Ils doivent savoir qu’ils ne peuvent échapper à la responsabilité pour leurs crimes. La coopération avec l’Iran doit commencer lorsque l’Iran aura un gouvernement démocratique.
Lorsque Mme Radjavi parle de séparation de la religion et de l’État et de la coexistence pacifique avec d’autres pays, ce sont des valeurs que nous chérissons et des valeurs qui représentent un Iran libre.

Marica Montemaggi, députée de Saint-Marin

Marica Montemaggi prend la parole lors de la conférence en ligne :
Le peuple iranien veut se débarrasser du régime théocratique et veut une vraie démocratie. Le gouvernement continue d’investir dans des projets qui n’ont rien à voir avec la santé et la sécurité de la population malgré la pandémie.

L’Iran compte des milliers de personnes qui ont été emprisonnées et qui subissent la torture. Nous ne pouvons pas rester silencieux à ce sujet. Nous devons soutenir le CNRI, qui œuvre pour la paix et la coexistence pacifique avec la communauté internationale. À Saint-Marin, nous appuyons le plan en dix points de Mme Radjavi. Nous sommes du côté de la démocratie et du peuple iranien.

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La députée italienne Chiara Gribaudo

Chiara Gribaudo prend la parole lors de la conférence en ligne :
Une mission indépendante doit enquêter sur la situation des prisons en Iran. Nous sommes très préoccupés par la situation des prisonniers, y compris les tortures et les conditions qu’ils endurent, ainsi que les exécutions qui ont lieu.

La torture est l’outil que le régime utilise chaque jour dans ses prisons. La primauté du droit est inexistante. Il existe des centres secrets où les gens sont torturés pour extorquer des informations. Le régime doit permettre à une mission indépendante de visiter les prisons. L’Union européenne a un rôle important. C’est un problème géopolitique qui doit être analysé en profondeur. L’UE doit répondre à la demande de Maryam Radjavi d’agir pour empêcher de nouvelles tortures en Iran.

Amir-Pasha Borjkhani, jeune membre de l’OMPI à Achraf 3

Amir-Pasha Borjkhani prend la parole lors de la conférence en ligne d’Achraf-3 :
Les mollahs ont utilisé tous les moyens pour empêcher leur inéluctable chute. Les mollahs disent constamment qu’ils ont peur d’un autre soulèvement. Ils humilient les jeunes dans les rues. De nombreux signes montrent que la société iranienne est au bord d’une explosion de colère. Les mollahs ont essayé d’utiliser la pandémie Covid-19 comme bouclier face à de nouvelles manifestations qui pourraient balayer leur régime.

Les lobbies du régime usent de prétextes en Occident pour diaboliser l’OMPI. Mais nous sommes fiers de suivre l’exemple de résistance de Massoud Radjavi et Maryam Radjavi. Notre identité en tant que membres de l’OMPI c’est la persévérance pour l’idéal de liberté pour notre peuple. Ces tactiques de désinformation ont cependant échoué et n’apporteront pas de garantie pour la survie du régime. Nous nous engageons à renverser ce régime et, avec les unités de résistance, nous y parviendrons incontestablement.
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Elaheh Zabihian, de la communauté iranienne au Royaume-Uni

Le peuple iranien a rejeté collectivement le fascisme religieux au pouvoir en Iran lors des récents soulèvements. Le complot terroriste du régime contre la résistance iranienne en 2018 a été la réponse du régime aux soulèvements populaires. Les intrigues des mollahs ont échoué.
Le régime est désespéré face à la poursuite des activités des unités de résistance, ce qui montrent que le renversement du régime n’est pas seulement un désir national, mais une réalité qui se réalisera bientôt.
Au lieu de promouvoir des relations économiques avec le régime iranien au profit du CGRI, les gouvernements occidentaux devraient désigner le CGRI et le VEVAK comme des organisations terroristes et fermer les ambassades du régime. Le temps de la complaisance avec les mollahs est révolu.
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Hasti Hesami, représentante de la communauté iranienne du nord de Texas

Hasti Hesami prend la parole lors de la conférence en ligne :
Il y a une volonté de se lever contre la dictature en Iran. C’est ce genre de volonté qui a fait que le régime a cherché d’anéantir l’OMPI par des attaques brutales à Achraf 1. Mais les membres de l’OMPI ont résisté à Achraf et ont vaincu le régime. Nous voyons aujourd’hui le même état d’esprit dans la jeunesse iranienne qui résiste farouchement au régime intégriste.
C’est clair que le régime craint le pouvoir de la jeunesse. Parce qu’ils constituent les Unités de Résistance qui agissent efficacement aujourd’hui en Iran .
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Le député danois Uffe Elbaek

Uffe Elbaek prend la parole lors de la conférence en ligne :
Il y a une lutte continue pour la liberté en Iran depuis 40 ans. Le travail que vous faites est très important. Gardez l’esprit combatif et continuez votre bon travail. Nous devons tous défendre la démocratie et les droits de l’homme dans le monde et en Iran aussi.
Cliquez ici pour écouter le discours complet

Jonathan de Patoul, député au Parlement francophone de Bruxelles

Jonathan de Patoul prend la parole lors de la conférence en ligne :

La déclaration universelle des droits de l’homme définit les deux valeurs fondamentales de la dignité humaine et de la liberté.
Je me joins aux millions de personnes en Iran élèvent leur voix pour plus de justice et d’humanité. En tant qu’homme politique il est de mon devoir d’insister que cette justice soit rendue. La jeunesse iranienne aspire au changement, alors, donnons-lui la parole.
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Hoda Imad, responsable des relations internationales de la jeunesse au Partie du travail norvégien

Hoda Imad prend la parole lors de la conférence en ligne :

Le peuple iranien réclame des droits humains fondamentaux pour s’exprimer sans crainte de persécution. Cela n’est pas trop demander. Les jeunes iraniens ne devraient pas être en prison et ne pas savoir s’ils survivront le lendemain. Il est temps pour nous tous d’élever la voix en solidarité avec le peuple iranien. Personne n’est libre tant que tout le monde n’est pas libre. Les revendications et les rêves de liberté et de justice du peuple iranien l’emporteront. Nous partageons vos rêves et vous soutenons dans votre combat pour la démocratie.
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Andrea Gavazz prend la parole lors de la conférence en ligne :
Nous espérons que la tyrannie du régime iranien prendra fin. Nous exprimons notre solidarité et accueillons le combat des jeunes en Iran. Ils sont notre espoir de changement pendant des périodes comme celles-ci. Les jeunes sont la clé de cette révolution pacifique à venir et il faut les soutenir activement en Occident.
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Mario Barbaro, membre du Conseil général du Parti radical italien


Mario Barbaro prend la parole lors de la conférence en ligne :
Je soutiens votre combat pour la démocratie, en particulier la jeunesse démocratique d’Iran qui construit l’avenir de son pays. La démocratie ne sera jamais offerte en cadeau et nous devons la défendre. Les manifestations de novembre 2019 et toutes les personnes qui ont perdu la vie dans le soulèvement montrent que vous ne manquez pas de courage et que vous certainement réaliser le rêve de liberté pour votre pays.
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Parsa Zolfaghari, membre de l’Association de la jeunesse iranienne en Suisse

Parsa Zolfaghari prend la parole lors de la conférence en ligne:

J’ai quitté l’Iran il y a neuf ans. J’ai grandi dans une famille qui soutient l’OMPI. Le régime a toujours persécuté les partisans de l’OMPI en Iran. En grandissant, j’ai compris que l’OMPI était les seuls résistants qui luttent avec éfficacité contre le régime. Mon oncle, Younes, a été exécuté avec 30 000 autres prisonniers politiques. Le sang de ces martyrs a pris vie lors du soulèvement de 2019.
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Pegah Jahanmiri, association des jeunes iraniens d’Allemagne

Pegah Jahanmiri prend la parole lors de la conférence en ligne:

Nous n’oublierons jamais ceux qui ont sacrifié leur vie pour la liberté. Nous soutenons les manifestants et les unités de résistance. Le régime sait que s’il y a des jeunes courageux à Chiraz et dans d’autres villes d’Iran, il n’a pas d’avenir. Nous n’arrêterons pas d’appeler à la liberté. Les unités de résistance sont des symboles de la liberté et du combat de l’OMPI pour la liberté. Je suis fier de dire que je suis un sympathisant de l’OMPI.
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Maryam Khalaghdoost, de l’association des jeunes iraniens en Autriche

Maryam Khalaghdoost prend la parole lors de la conférence en ligne:

J’ai quitté l’Iran il y a dix ans parce que ma famille était pourchassée par le régime. En 2009, je n’avais que 16 ans mais j’étais activement présente dans les manifestations. La flamme du soulèvement ne mourra pas. En 2009, j’ai rencontré une fille qui a été arrêtée et brutalement torturée, mais elle est revenue dans la rue peu de temps après sa libération. Et elle m’a dit qu’elle ne restera jamais silencieuse face à la répression. Le régime ne peut pas empêcher les soulèvements, quels que soient ses efforts.
Le soulèvement de 2019 a été très grande. La répression a été beaucoup plus brutale, mais le régime n’a pas pu arrêter la jeunesse. Les mollahs savent ce qui leur arrivera lors des prochains soulèvements. Le peuple a clairement indiqué que les mollahs devaient partir. Je salue les unités de résistance partout en Iran.
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Vida Amani, des jeunes iraniens en Suisse

Amani prend la parole lors de la conférence en ligne:

Le soulèvement de 2019 était le prolongement du soulèvement de 2018. Les jeunes ont clairement fait savoir qu’ils ne se contentaient de rien de moins que du renversement du régime. D’autres soulèvements sont en cours et le régime a peur. Nous disons aux mollahs que vous avez raison d’avoir peur et que vous devriez craindre encore plus.
Le régime a reconnu que les jeunes rejoignent de plus en plus l’OMPI et les unités de résistance. Le régime sait qu’il n’a aucun soutien en Iran. Ses mensonges sont mis au grand jour. Le régime sera renversé. La victoire de notre peuple est proche.

Samira Ardalan, de l’Association des jeunes démocrates iraniens en Italie

Samira Ardalan prend la parole lors de la conférence en ligne:

La population iranienne sait que ses aspirations de liberté sont symbolisés per l’OMPI. Lors du soulèvement précédent, le peuple a clairement indiqué qu’il n’adhérait pas aux prétentions de modération du régime et qu’il voulait le renversement du régime.
Ce régime n’a pas avenir et même les propres médias des mollahs mettent en garde contre une tempête sociale qui emportera le régime. Ils torturent les manifestants, humilient les jeunes dans les rues. Mais ils ne peuvent pas empêcher un autre soulèvement.

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