CNRI – Le 23 juin, en réponse aux soulèvements populaires dans le Sistan-Baloutchistan, le procureur général de cette province Mohammad-Ebrahim Nikounam a lancé une mise en garde : Nous avons décidé de faire payer de leur vie les éléments qui créent de linsécurité.
Nikounam a fait allusion à davantage de torture et dexécutions, en menaçant : Nous jurons de ne pas dévier de la volonté divine quand il sagit de personnes qui ont fait quelque chose de mal.
Jeudi, dans une interview avec le quotidien officiel Ressalat, il avait affirmé que des châtiments (pendaisons) avaient été appliqués à six individus accusés de Corruption sur terre afin « dapporter la sécurité » à la province.
Incapable de contenir le nombre croissant de soulèvement dans le Sistan-Baloutchistan, lAzerbaïdjan, le Khouzistan, le Kurdistan et ailleurs en Iran, les mollahs ont recours à davantage de répression.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 24 juin 2006