Des portraits de Qassem Soleimani incendiés
Suite à un raid sauvage contre une habitation à Bandar-Abbas, dans le sud de l’Iran, par les forces répressives le 18 janvier, une femme malade âgée de 60 ans qui avait été aspergée de gaz poivre, est décédée à l’hôpital.
Le chef de la police de Bandar-Abbas, dissimulant l’utilisation de gaz poivre par les forces répressives, a tenté de justifier ce crime en déclarant que la mort brutale de cette femme était due aux heurts entre la population et les agents.
En réponse à ce crime à Bandar Abbas, de jeunes insurgés ont visé sept centres de répression des gardiens de la révolution à Téhéran, Machad, Khorramabad et Kazeroun aux premières heures du 20 janvier. Ils ont mis le feu à leurs entrées et à leurs enseignes. Ils ont également brûlé des portraits de Qassem Soleimani, commandant éléminé de la Force Qods, à Téhéran et à Kerman.
Le 22 janvier au matin, de jeunes insurgés ont aussi mis le feu à l’entrée et au panneau des centres de la milice du Bassij à Nichabour et Robat-Karim.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 23 janvier 2021